365 jours identiques par an [Nicole Robbins]

    Cette nuit a été dure. Nicole n'avait pas arrêté de se retourner en espérant trouver le sommeil mais sa lutte n'avait aucun résultat. Malgré tout elle était resté dans son lit à attendre que les heures passent. Son regard rivé sur son téléphone l'écran l'aveugler mais il n'était plus l'heure pour s'endormir au contraire dans quelques minutes elle allait devoir se lever pour aller au travail. Le temps d'un instant elle imagina sa tête, elle se fit peur et décida de ne plus en parler. Elle faisait rouler l'écran de son téléphone. Sa vie était beaucoup moins mouvementé qu'avant. Dès qu'elle n'arrivait pas à dormir elle pouvait réveillé Clyde qui ronchonnait mais qui restait durant plusieurs heures éveillé pour celle qu'il aimait. Mais le point est qu'avant elle n'était pas réveillé aussi souvent. Ses insomnies étaient presque inexistantes à part pour la nuit avant le drame.
    C'était le lendemain qu'elle devait aller à son entretien, elle ne tenait plus en place, elle n'était pas bien, elle ne voulait pas que le temps passe trop vite donc elle ne voulait pas dormir. Elle s'était réveillé en sursaut et en sueur au milieu de la nuit après s'être rendu compte qu'elle s'était endormi. Elle avait gentiment poussé le bras de Clyde pour le réveiller ce qui ne marcha pas tout de suite alors elle avait posé sa main sur les joues de son homme. A son contact il ouvrit les yeux. Il lui avait demandé pourquoi elle le réveillait, elle avait juste répondu qu'elle avait peur alors il l'avait pris dans ses bras et il avait attendu qu'elle s'endorme. Nombreuses étaient les soirées où Clyde montait dormir plus tôt qu'elle à cause de son travail alors en montant se coucher, elle vérifiait que Luke dormait et quand ce dernier était réveillé elle entré dans sa chambre et elle venait dormir avec lui.

    Son téléphone vibra à côté de sa tête sur l'oreiller. Il était près de son oreille donc elle l'entendit et sursauta. Elle le prit assez rapidement pour voir que c'était juste sa mère qui lui avait envoyé un message. Elle regarda l'heure et fut horrifié par sa vision. Il était plus de sept heures déjà. Elle se détesta car c'était au seul moment où il ne fallait pas qu'elle s'endorme qu'elle s'est endormis. Elle jura et se leva. Le chat arriva pour se faire caresser, elle l'ignora. Elle alla dans la cuisine pour se préparer un petit déjeuné. Elle n'avait même pas pris la peine de répondre à sa mère. Elle s'en occuperait pendant sa première heure de cours. Elle s'assit à la table pour manger. Elle ne pouvait pas partir en ayant rien dans le ventre, il fallait qu'elle mange un minimum, donc elle avait pris une biscotte et avait étalé de la nutella dessus. Son chat monta sur la table. Il se coucha devant elle. Elle lui cria dessus pour qu'il descende mais il ne bougea pas. En ayant la bouche pleine elle dit « Je me prépare et si j'ai le temps tu as à manger. Ca te fera du bien de faire du jeun t'es déjà énorme » Elle passera prendre un café en chemin au starbuck qu'il y a sur sa route. Elle se lava les mains et alla à la salle de bain se changer. L'horloge affichait presque sept heures vingt. Elle enfila un jean bleu foncé, le premier qu'elle vu et mis sur elle un tee-shirt et une veste. Elle n'avait pas le temps pour se faire jolie et puis elle n'avait pas l'intention de draguer un de ses élèves. Elle se regarda dans la glace. Les rides de la nuit se faisaient voir, elle souffla et pris la peine de se maquiller un minimum pour être potable et pour gâcher sa mauvaise nuit, elle n'avait pas besoin qu'on lui dise « Tu as mal dormis ? Tu vas bien ? » car non elle n'a pas bien dormis et que oui elle va mal. Elle retourna au living room et nourrit le chat, elle devait se dépêcher. Elle mis ses talons et fit quelques pas. Elle s'arrêta net devant la porte, elle enleva ses talons et opta pour des baskets. Elle n'avait pas la foi de passer sa journée sur des talons. Elle ferma la porte derrière elle et alla jusqu'à sa voiture.

   Elle se gara sur le parking du starbuck, il y avait déjà beaucoup de voitures. Comment pouvait-il y avoir déjà autant de monde il était que sept heures trente passé ? Elle ne se sentit pas seule à être en retard. Elle entra dans l'enseigne et constata une longue file d'attente. Elle hésita à partir et à acheter un truc sur le campus. Elle n'arrivait pas à y croire, il y avait tellement de personnes âgées, pourquoi venir si tôt alors qu'on a le temps ? Elle prit son téléphone et prit le temps de répondre au sms de sa mère. Oui maman je vais bien, ne t'inquiète pas et non je n'ai pas trouver de nouvelle conquête puis ce n'était pas tes affaires, se dit-elle. Sa mère aimait avoir un message de sa fille chaque matin, elle voulait savoir si elle allait bien alors qu'avec autant de kilomètres entre elles, Nicole pouvait écrire tout et n'importe quoi sa mère ne viendrait pas vérifier. Un jour elle lui avait même écrit qu'elle avait passé la soirée avec un homme pour pas que sa mère pense qu'elle passe ses journées seule et donc pour être débarrasser de sa mère sauf que l'effet a été inverse, sa mère lui a demandé un descriptif complet de la personne, Nicole lui avait écrit qu'elle n'avait plus le temps de parler par sms car les cours avait commencé. C'est avec beaucoup de chance que sa mère n'a pas repris la conversation. Elle n'avait besoin de personne ici c'était une chose qu'elle avait bien compris.

    La file avait avancé et elle se trouva devant le jeune homme qui allait la servir. Elle ne prêta pas attention à lui à cause de sa conversation avec sa mère, elle n'arrêtait pas de la harceler pour savoir pour quel raison elle n'avait pas envoyé son message à sept heures pile comme d'habitude. Nicole lui avait répondu qu'elle s'était endormis tard et sa mère parti sur une histoire avec un garçon.
« Et merde maman j'en ai marre de toi, j'ai ma vie maintenant » Elle leva les yeux vers le jeune homme qui avait l'air d'avoir déjà passé un début de matinée avec difficultés et son regard la fixe comme si elle devait se dépêcher « Excusez moi, ce sera un Mocha Blanc pour Nicole s'il vous plait. »


   

    Elle ne savait pas d'où lui était venu l'idée de donner des cours particuliers pendant les vacances d'été. Elle était sûrement poussé par l'argent, elle en avait vraiment besoin donc elle s'était proposé pour donner certains cours. Elle ne savait pas non plus d'où lui était venu l'idée de donner des cours à huit heures du matin. Elle détesta le fait d'avoir accepté cette aide. Elle n'avait pas l'envie ce matin et elle n'en aura pas l'envie les prochains matins. Pourquoi elle n'a pas fait comme tous les autres ? Pourquoi elle n'a pas pris des vacances pour aller bronzer même si c'est que sur le balcon de son appartement ? En tout cas elle était là, prête à prendre son café et à partir tout de suite après.

    Elle sentit son téléphone vibrer à plusieurs reprises dans sa main lorsqu'elle commanda son Mocha Blanc. Elle jeta un œil dessus. Le nom d'un de ses élèves pouvait se lire. Elle sut que c'était un élève car il y avait marqué le nom et le prénom de la personne. Elle ne fais jamais ça, pour ses amis elle met le prénom et rajoute un emoji qui lui correspond. Son téléphone s'arrêta de vibrer, il tomba sur sa messagerie. Elle écouta le jeune homme écrire son nom sur un papier pour pouvoir le recopier sur le gobelet sans faute d’orthographe. Elle acquiesça son nom d'un signe de la tête. A la suite de l'énoncé de son prénom, le jeune homme la fixait ce qu'elle remarqua mais elle n'y prêta pas attention. Après tout il pouvait la regarder car son prénom est original ou juste car on ne voit pas une femme d'une trentaine d'années porter ce prénom. « Je vais prendre à emporter s'il vous plaît » Elle leva les yeux vers l'horloge et elle remarqua que l'heure tournait mais elle ne voulait plus se presser, ce café allait être son petit plaisir du matin et elle ne voudrait pas le gâcher en pensant à un élève qui se donne bonne conscience en venant réviser pendant les vacances d'été. Le serveur se retourna pour préparer son café. Elle en profitant pour écouter sa boîte vocale. Elle entendit la voix d'un jeune garçon qui n'avait l'air pas très rassurer de l'appeler. Sa voix tremblait comme pour donner un effet à cette dernière. Elle écouta le message et eut envie de tout laisser tomber. Ce garçon lui indiqua qu'il était malade et qu'il ne pouvait pas venir à leur cours. En résumé, Nicole s'était réveillé pour rien et elle était là pour rien alors qu'elle aurait pu être au fond de son canapé à siroter son Capri-sun. Elle retourna vers le comptoir pour demander au serveur. « Finalement est-il possible de le prendre sur place s'il vous plaît » demanda-t-elle un sourire forcé à son visage.



 

    Elle eut peur de déranger en demandant de finalement prendre sur place. Ca faisait comme le genre de personnes indécises qui n'arrivent pas à prendre des choix alors que c'était bien tout le contraire, elle prenait des choix et elle s'appuyait dessus. Elle ne regrettait aucun de ses choix, elle était fière de les avoir pris et elle était fière d'en être arrivé ici. Certes elle regrettait la mort de son conjoint et de son fils elle n'aurait pas pu changer les formes des choses à moins que l'un des deux tombent malades avant de partir. Oui elle aurait aimé que ce jour là son fils fasse la comédie pour ne pas aller à l'école mais ce n'était pas arrivé. L'accident avait eu lieu, elle était à des dizaines de kilomètres, elle ne pouvait rien faire pour ceux qu'elle aimait le plus.
    Le pire avait été le moment où on l'a appelé. C'était un agent de police qu'elle avait eu au téléphone, au début elle pensait que Clyde avait roulé trop vite et avait été pris par la police ou quelque chose comme ça mais la voix du policier n'était pas joyeuse bien au contraire, il lui avait demandé de le rejoindre au poste de police ce qu'elle avait fait avant de rentrer chez elle. Le rendez-vous c'était pas super bien passé, elle avait eu du mal à parler à cause du stress, elle était déçus de ce qu'elle avait fait même si le pire n'était pas encore arrivé. En arrivant au poste de police un homme vraiment plus grand qu'elle s'était approché et lui avait demandé son nom. Il lui demanda de le suivre. Arrivé dans son bureau il lui annonça la triste nouvelle. Elle ne voulait pas y croire car elle ne pouvait pas y croire. Son conjoint faisait toujours attention en voiture, même si quelques fois il roulait un peu trop vite, elle avait toujours eu confiance en lui. Il l'avait accompagné à l'hôpital car elle n'était pas en mesure de conduire et elle avait parlé à un médecin. C'était bien vrai, ce n'était pas une blague, ils avaient tout fait pour les sauvé. Sa tristesse se changea en colère lors du « Nous avons tout fait », elle leur avait dit que si ils l'auraient voulu ils les auraient sauvé alors qu'elle savait que c'était faux, le corps humain est si compliqué à comprendre, un petit choc peut tuer une personne alors qu'une chute de trois étages n'en tuera pas une autre. Le choix de partir de New York avait été très vite pris, elle ne voulait pas resté en ville où chaque coin de rue lui rappelait un moment avec sa famille et elle ne voulait encore mois resté dans l'appartement, les odeurs, les souvenirs, elle ne voulait pas être hanté.
    Aujourd’hui, lorsque son téléphone sonne et que le numéro est inconnu il y a une forme de stress qui monte en elle. Et quand les choses n'allaient pas dans son sens elle était encore plus énervé. C'est avec une voix poli qu'il lui avait répondu, elle n'avait pas l'air de l'avoir embêter à changer de choix. Alors elle s'était mis sur le côté en attendant et avait envoyé un message à sa mère pour lui dire qu'elle pourrait l'appeler dans la journée car ce qu'elle avait prévu rien que ce matin avait été annulé. Elle guetta la réponse de sa mère qui se faisait désirer. Elle levait la tête pour voir où en était son café. Elle avait envie d'aller s'asseoir et d'arrêter de penser à tout ce qui l'entoure. Elle croyait que la vie avait un problème avec elle, rien n'allait avec ce qu'elle voulait.
   Le serveur s'avança pour lui donné lorsqu'il posa le gobelet sur le comptoir pour partir, elle le laissa faire, il y avait l'air de manquer quelque chose. Elle retourna sur son téléphone. Sa mère ne lui répondait pas. Qu'est-ce qu'elle pouvait détesté ça ! Elle laissa tomber et rangea son téléphone après avoir vérifié n'avoir rien reçu. Elle avait besoin d'avoir quelqu'un d'autre pour parler, elle passait sa vie à envoyé des messages à sa mère car elle n'était pas capable de retrouver quelque avec qui s'entendre bien. Elle fouilla au préalable dans son sac pour trouver son porte monnaie, elle le sortit et pris un billet de cinq dollars. Le serveur lui donna son gobelet et lui indiqua le prix. Elle lui tendit son billet. « Gardez la monnaie ne vous embêtez pas » Elle s'étonna d'avoir dit ça mais elle ne voulait pas s'embêter avec toutes les petites pièces, elle prit son gobelet et alla jusqu'à une table à côté de la fenêtre et s'assit. Il lui semblait avoir vu quelque chose d’écrit en plus sur son gobelet, elle le tourna et trouva le numéro du serveur. Elle sourit à cette vision. Elle tourna la tête vers le comptoir où le serveur c'était remis à servir les gens. Elle le trouva mignon mais il était très différent du style d'hommes qui l'attirait. Puis elle ne voulait pas retrouver une nouvelle personne avec qui être. Ca aurait pu être amical mais alors pourquoi ce coeur ? Mais il était la seule personne à avoir pris le courage de lui lancer un message. Même si elle ne sortait pas avec lui comme il avait l'air de vouloir, il pourrait être un ami ou juste une connaissance pour se sentir moins seule dans cette grande ville. Qui dit qu'avec elle n'allait pas faire d'autres connaissances ? Il travaille dans un café il connaît forcément d'autres personnes.
    Elle guetta les gestes du serveur qui fut vite remplacé par un autre. Elle le vit quitter la salle. Elle regarda le numéro. C'était le moment où jamais. Elle attrapa son téléphone portable et elle composa son numéro. Après plusieurs sonneries il répondit. Elle avait vu en commandant son prénom sur sa carte. « Dan ? Vous laissez vraiment votre numéro à n'importe qui. »



 

Elle aurait voulu être dans son canapé à ne rien faire mais elle était là, entrain de boire son café il fallait bien qu'elle vive avec. Elle aurait pu faire comme chaque personne, boire son café et quitter l'endroit pour aller vivre sa vie dehors mais elle n'avait rien de prévu après à part ne rien faire à son appartement alors autant s'amuser un peu. L'envie de s'amuser s'était rallumé en elle d'un seul coup en voyant le numéro du serveur sur son gobelet. Les esprits méchants auraient mis le numéro sur internet mais elle n'était pas méchante, elle cherchait juste à s'amuser donc elle a composé le numéro. « Je ne pense pas qu'on se connaisse mais avait l'air de vouloir qu'on fasse plus ample connaissance, je suis Nicole. »

Elle écoutait ce qu'il lui disait au téléphone. Il semblait perdu. Puis il marqua une pause dans sa phrase ce qui la surprenait. Puis sa voix devint plus dur. Elle le laissa lui parler par téléphone puis il raccrocha. Elle n'a pas aimé le fait qu'il lui raccroche au nez, elle posa son téléphone à côté de son café qu'elle prit en main pour boire une gorgée. Elle ne voulait pas le rappeler ou partir car elle sentait qu'il allait arrivé. En vrai, elle n'avait pas envie de lui parler face à face, elle avait osé lui téléphonait car ça restait derrière le téléphone mais là elle n'allait pas se sentir à l'aise. Elle ne le connaît pas, elle ne va pas savoir sur quoi parler, même elle ne saura pas comment expliquer sa folle envie de l'appeler. Si elle lui dit que c'était pour s'amuser il va penser quoi d'elle ? Une femme de trente deux ans qui n'a rien d'autres à faire que d'appeler les numéros qu'on lui donne. Peut-être qu'il va croire qu'elle veut une aventure avec lui alors que pas du tout, peut-être qu'il a écris son numéro pour ça, avoir une aventure avec elle et là elle lui donne de faux espoirs. Sur le moment, elle se détestait d'avoir appelé, elle aurait du faire comme elle le fait d'habitude, elle aurait du prendre son café et partir.
Il vint à sa table et s'assit en face d'elle. Elle lui sourit nerveusement. « Euh… Je suis vraiment désolé de vous avoir embêtez. Je n'aurais jamais dû vous appeler. Je voulais juste savoir pourquoi vous avez écris votre numéro sur ce gobelet ? Ca peut être dangereux. » Elle s'arrêta là pour ne pas se faire passer pour sa mère à lui donner des consignes. En plus de ça, elle réussit à se sauver à lui demandé pourquoi il lui avait donner son numéro.

Il avait l'air de vouloir une toute autre réponse de la part de la jeune femme, pourtant elle avait jouer le rôle de protectrice envers cet inconnu. Ou juste elle avait voulus avoir l'air plus mature que lui alors elle l'avait rabaisser en lui disant que c'était dangereux. Il commença à lui raconter une histoire, alors elle se remit bien sur sa chaise et écouta ce qu'il avait à lui dire. Elle crut au début que son histoire parlait de lui mais non, elle parlait d'une autre personne. Puis Nicole comprit qu'on lui avait une blague. Elle allait lui répondre mais il dit son nom et son cerveau s'arrêta le temps d'un instant. Elle ne pouvait pas y croire. Et au fond d'elle elle ne voulait pas y croire. Ca devait être un autre Dan MacCready, même si ce nom n'était pas si courant que ça ça se pouvait que ce ne soit pas lui. Puis il ne lui ressembler pas. Après il avait grandis et changer comme elle. Elle avait vécu tant de choses, il aurait pu vivre aussi pleins de chose qui l'aurait fait changer. Puis que ferait-il ici ? Elle sait qu'il est partis de New York, c'était la dernière nouvelle qu'elle avait de lui. Elle ne savait pas où il était aller. Cependant le destin pouvait les faire se retrouver ici. Elle reprit ses esprits pour ne pas paraître bizarre à ses yeux. Elle préféra ne pas penser à son vieil ami qu'elle avait. Puis, si c'était vraiment lui elle ne voudrait pas plus que ça lui parler. Il lui rappellerai ce qu'elle était avant, Clyde. Il n'avait pas connu Luke car elle était tombé enceinte après son départ mais il avait été si proche de Clyde et si proche d'elle. « Je suis Nicole Robbins » Si ils se connaissaient elle voulait attendre que lui fasse le premier pas. Puis merde. « Vous n'étiez pas à New York il y a quelques années ? » Elle prit le courage de lui demander. Si ce n'est pas lui tant mieux, elle dira que c'est une erreur, si c'est lui, elle devra gérer ses émotions.